Marco Skoff

Marco Skoff est tombé très vite dans la marmite de la lecture, sans doute grâce à quelques enseignants concernés durant son primaire. Vint ensuite la véritable révélation : une vieille et très désordonnée librairie de livres d'occasions où il va puiser dans un stock impressionant de classiques de la littérature de genre. Rien ne manque : de la science-fiction au polar en passant par le fantastique, tous les maitres sont là. Il en arrive à lire parfois deux romans dans la journée. Il tente dans sa prime jeunesse d'écrire, le plus souvent à la manière d'untel ou d'un autre. C'est surtout pour frimer envers le sexe opposé et cela ne mène à rien. Vient ensuite une longue, longue période où happé par la vie, le boulot, la famille et autres Marco Skoff va fantasmer de nombreux récits qu'il va commencer sur des cahiers, sans jamais rien finir. Il faudra un déménagement dans une île paradisiaque et un changement drastique de la plupart des aspects de sa vie pour que notre auteur se mette en tête de finir ce qu'il commence. Et de ne faire plus que cela. S'en suivent une série fantasy et de nombreuses nouvelles chez divers éditeurs, sous divers pseudonymes. La nouvelle c'est le secteur de prédilection de Marco. Il se plaît à écrire des nouvelles ou des micro-nouvelles, de science-fiction de fantastique ou même de littérature blanche en les mâtinant le plus possible d'humour, le plus souvent d'humour noir. La légende affirme qu'il farcit ses textes de réfèrences cachées, si bien cachées qu'il en vient à les oublier. Une légende comme une autre...