- EAN13
- 9782709667135
- Éditeur
- Jean-Claude Lattès
- Date de publication
- 04/11/2020
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Madame, il fallait partir
Comment la justice achève les femmes victimes de violences conjugales
Céline Marcovici
Jean-Claude Lattès
Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782709667135
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Comment la justice achève les femmes victimes de violences conjugales
Pousser la porte d’un commissariat permettra à une femme de faire cesser les
violences conjugales. Enclencher une procédure judiciaire lui garantira
protection et équité.
Ça, c’est ce que l’on croit.
Car, en réalité, trop souvent, la femme qui trouve le courage de se tourner
vers la justice signe pour un nouveau calvaire.
Céline Marcovici, avocate, connaît bien ces femmes qui osent dire stop mais
se heurtent au labyrinthe de la justice, à ses rouages, à sa méconnaissance
des violences conjugales, à son manque de moyens. Son livre est entrecoupé
de témoignages bouleversants.
Beaucoup ont entendu cet étonnement dans le cadre d’un tribunal : « Mais
Madame, il fallait partir ».
Tous les Grenelle du monde n’y changeront rien : le sort des femmes victimes
de violences conjugales ne sera pas allégé tant que la justice ne sera pas
réellement formée pour entendre leur souffrance, démultipliée au moment du
confinement.
Pousser la porte d’un commissariat permettra à une femme de faire cesser les
violences conjugales. Enclencher une procédure judiciaire lui garantira
protection et équité.
Ça, c’est ce que l’on croit.
Car, en réalité, trop souvent, la femme qui trouve le courage de se tourner
vers la justice signe pour un nouveau calvaire.
Céline Marcovici, avocate, connaît bien ces femmes qui osent dire stop mais
se heurtent au labyrinthe de la justice, à ses rouages, à sa méconnaissance
des violences conjugales, à son manque de moyens. Son livre est entrecoupé
de témoignages bouleversants.
Beaucoup ont entendu cet étonnement dans le cadre d’un tribunal : « Mais
Madame, il fallait partir ».
Tous les Grenelle du monde n’y changeront rien : le sort des femmes victimes
de violences conjugales ne sera pas allégé tant que la justice ne sera pas
réellement formée pour entendre leur souffrance, démultipliée au moment du
confinement.
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