- EAN13
- 9782705672539
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 13/04/2006
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782705672539
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Édition entièrement revue, corrigée et augmentée. Quand l'histoire de l'art
tient de l'enquête policière. Le Portrait d'un couple peint par Van Eyck en
1434 est un chefs-d'oeuvre doublé d'une énigme. Qui sont ces gens et que font-
ils ? Quel sens donnent-ils à leurs gestes ? Pourquoi ces mines empreintes de
sereine gravité ? Pourquoi s'être ainsi déchaussés ? Pourquoi avoir placé une
bougie allumée sur le lustre ? Et que signifie cette bizarre inscription
latine au-dessus du miroir ? La tradition veut que ce portrait soit celui des
Arnolfini au moment de leur mariage ou de leurs fiançailles. Bien à tort.
Pierre-Michel Bertrand établit, preuves inédites à l'appui, qu'il s'agit en
fait d'un autoportrait de Jan van Eyck en compagnie de sa femme Marguerite. Le
terme d'autoportrait ne rend cependant pas toute la « vérité » du tableau.
Comme on le découvre à mesure que l'intrigue du livre progresse, le premier
rôle n'est pas tenu par celui qu'on croit. Et l'événement commémoré par le
peintre se révèle, au bout du compte, bien différent de ce qu'on a toujours
dit. Un ouvrage audacieux et original, d'une aimable érudition, qui captivera
le lecteur jusqu'à la dernière page, lorsque la clé du mystère lui sera enfin
donnée.
tient de l'enquête policière. Le Portrait d'un couple peint par Van Eyck en
1434 est un chefs-d'oeuvre doublé d'une énigme. Qui sont ces gens et que font-
ils ? Quel sens donnent-ils à leurs gestes ? Pourquoi ces mines empreintes de
sereine gravité ? Pourquoi s'être ainsi déchaussés ? Pourquoi avoir placé une
bougie allumée sur le lustre ? Et que signifie cette bizarre inscription
latine au-dessus du miroir ? La tradition veut que ce portrait soit celui des
Arnolfini au moment de leur mariage ou de leurs fiançailles. Bien à tort.
Pierre-Michel Bertrand établit, preuves inédites à l'appui, qu'il s'agit en
fait d'un autoportrait de Jan van Eyck en compagnie de sa femme Marguerite. Le
terme d'autoportrait ne rend cependant pas toute la « vérité » du tableau.
Comme on le découvre à mesure que l'intrigue du livre progresse, le premier
rôle n'est pas tenu par celui qu'on croit. Et l'événement commémoré par le
peintre se révèle, au bout du compte, bien différent de ce qu'on a toujours
dit. Un ouvrage audacieux et original, d'une aimable érudition, qui captivera
le lecteur jusqu'à la dernière page, lorsque la clé du mystère lui sera enfin
donnée.
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