- EAN13
- 9782600359139
- Éditeur
- Droz
- Date de publication
- 2019
- Collection
- Textes Littéraires Français
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Lettres (1925-1944)
Avec poèmes et textes inédits de Max Jacob
Max Jacob, Julien Lanoë
Droz
Textes Littéraires Français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782600359139
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Max Jacob et Julien Lanoë se sont rencontrés en 1925, chez Jean Cocteau, afin
de trouver un titre à la revue littéraire que Lanoë voulait fonder à Nantes ;
ce fut La Ligne de cœur. Mais la vraie amitié entre Max Jacob et Julien Lanoë
commença un sombre soir d’hiver 1926, dans la chambre de Max Jacob à Saint-
Benoît-sur-Loire, lorsque celui-ci écrivit d’un seul trait deux poèmes pour la
revue, s’inventant pour lui-même le pseudonyme de Morven le Gaëlique. La revue
ne parut que quelques années, mais les Poèmes de Morven le Gaëlique furent
réunis et publiés en 1953.
L’amitié entre les deux hommes s’intensifia jusqu’à la mort de Max Jacob en
1944. Leur correspondance traite de la poésie et de l’art de l’époque, ainsi
que de leurs propres œuvres. Lanoë chercha à monter une pièce de Max Jacob, et
exposa deux fois ses gouaches au musée des Beaux-Arts de Nantes. Les cinquante
dernières lettres évoquent la vie familiale de Lanoë et la dure vie de Max
Jacob qui portait l’étoile jaune, à Saint-Benoît, pendant l’Occupation.
de trouver un titre à la revue littéraire que Lanoë voulait fonder à Nantes ;
ce fut La Ligne de cœur. Mais la vraie amitié entre Max Jacob et Julien Lanoë
commença un sombre soir d’hiver 1926, dans la chambre de Max Jacob à Saint-
Benoît-sur-Loire, lorsque celui-ci écrivit d’un seul trait deux poèmes pour la
revue, s’inventant pour lui-même le pseudonyme de Morven le Gaëlique. La revue
ne parut que quelques années, mais les Poèmes de Morven le Gaëlique furent
réunis et publiés en 1953.
L’amitié entre les deux hommes s’intensifia jusqu’à la mort de Max Jacob en
1944. Leur correspondance traite de la poésie et de l’art de l’époque, ainsi
que de leurs propres œuvres. Lanoë chercha à monter une pièce de Max Jacob, et
exposa deux fois ses gouaches au musée des Beaux-Arts de Nantes. Les cinquante
dernières lettres évoquent la vie familiale de Lanoë et la dure vie de Max
Jacob qui portait l’étoile jaune, à Saint-Benoît, pendant l’Occupation.
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