- EAN13
- 9782336457284
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 09/05/2024
- Collection
- Afrique poésie
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782336457284
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9.99
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Papier - L'Harmattan 14,00
Vertiges surréalistes est de ces recueils poétiques qui frappent par la
richesse de leurs imaginaires et la force de leurs images. Le poète se donne
ainsi pour tâche de se libérer de toutes les assignations, pour partir en
quête d’une expression capable de chanter la condition universelle d’être au
monde. Il se place pour cela sous le patronage de voix poétiques parmi les
plus profondes de la littérature mondiale. Dans un vertige qui fait fi de la
barrière des langues et des époques, Vicente Huidobro côtoie de cette manière
les présences obsédantes de Dante Alighieri, de Tchicaya U Tam’si, de Fernando
Pessoa, d’Aimé Césaire ou encore de Charles Bukowski. Enfin, Tornades mûres,
recueil qui succède et prolonge Vertiges surréalistes, reprend à son compte la
métaphore circulaire empruntée aux cercles de l’Enfer de la Divine Comédie,
pour mieux explorer la mythologie de la violence politique contemporaine et
lui opposer la vigueur féconde de la révolte poétique. Aussi, comme Bouzongo
Ka’ngedi l’annonce dans son épitre dédicatoire, « Toute bonne poésie explore
toujours / La part inconnue de nous-même ! » et c’est maintenant au lecteur de
partir à la recherche de la sienne.
— Nicolas Piedade
*[XVIIIe]: 18e siècle
richesse de leurs imaginaires et la force de leurs images. Le poète se donne
ainsi pour tâche de se libérer de toutes les assignations, pour partir en
quête d’une expression capable de chanter la condition universelle d’être au
monde. Il se place pour cela sous le patronage de voix poétiques parmi les
plus profondes de la littérature mondiale. Dans un vertige qui fait fi de la
barrière des langues et des époques, Vicente Huidobro côtoie de cette manière
les présences obsédantes de Dante Alighieri, de Tchicaya U Tam’si, de Fernando
Pessoa, d’Aimé Césaire ou encore de Charles Bukowski. Enfin, Tornades mûres,
recueil qui succède et prolonge Vertiges surréalistes, reprend à son compte la
métaphore circulaire empruntée aux cercles de l’Enfer de la Divine Comédie,
pour mieux explorer la mythologie de la violence politique contemporaine et
lui opposer la vigueur féconde de la révolte poétique. Aussi, comme Bouzongo
Ka’ngedi l’annonce dans son épitre dédicatoire, « Toute bonne poésie explore
toujours / La part inconnue de nous-même ! » et c’est maintenant au lecteur de
partir à la recherche de la sienne.
— Nicolas Piedade
*[XVIIIe]: 18e siècle
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