- EAN13
- 9782315013258
- Éditeur
- Max Milo Editions
- Date de publication
- 17/11/2023
- Collection
- Témoignage
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Confessions d'un faussaire. La face cachée du marché de l’art
La face cachée du marché de l’art
Eric Piedoie Le Tiec
Max Milo Editions
Témoignage
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Max Milo 19,90
"L’empereur du faux" Le Nouvel Obs "Les faux César se ramassent à la pelle"
Libération "Le génie de la contrefaçon" Le Figaro Les faux sont partout dans
l’art, dans les musées, les salles d’exposition, les galeries, et cela pour
une raison simplissime : ces chefs-d’œuvre sont réalisés avec la complicité
des maîtres eux-mêmes (parfois), de la famille des artistes quand ils sont
décédés (très souvent), des experts et des galeristes du monde entier (tout le
temps). Éric Piedoie Le Tiec, c’est trente ans de faux et dix de prison. Dans
le récit hors norme d’un des principaux faussaires des quarante dernières
années, on découvre la face cachée du marché de l’art. Miró, Toulouse-Lautrec,
Dufy, Chagall, Arman… et surtout César : tous les grands maîtres y passent.
"L’empereur" a réalisé des dizaines de milliers de faux, qui ont permis
d’enrichir un grand nombre de marchands d’art. "Tout le monde savait ce que
nous fabriquions à Nice, Copenhague, New York, Anvers, Shanghaï… mais tout le
monde la fermait, car il y avait beaucoup d’argent à gagner."
Libération "Le génie de la contrefaçon" Le Figaro Les faux sont partout dans
l’art, dans les musées, les salles d’exposition, les galeries, et cela pour
une raison simplissime : ces chefs-d’œuvre sont réalisés avec la complicité
des maîtres eux-mêmes (parfois), de la famille des artistes quand ils sont
décédés (très souvent), des experts et des galeristes du monde entier (tout le
temps). Éric Piedoie Le Tiec, c’est trente ans de faux et dix de prison. Dans
le récit hors norme d’un des principaux faussaires des quarante dernières
années, on découvre la face cachée du marché de l’art. Miró, Toulouse-Lautrec,
Dufy, Chagall, Arman… et surtout César : tous les grands maîtres y passent.
"L’empereur" a réalisé des dizaines de milliers de faux, qui ont permis
d’enrichir un grand nombre de marchands d’art. "Tout le monde savait ce que
nous fabriquions à Nice, Copenhague, New York, Anvers, Shanghaï… mais tout le
monde la fermait, car il y avait beaucoup d’argent à gagner."
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