- EAN13
- 9782896645718
- Éditeur
- Éditions du Septentrion
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782896645718
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
44.99
Les premiers Clercs de Saint-Viateur français sont arrivés au Canada en 1847,
invités par Barthélemy Joliette pour prendre charge du Collège Joliette.
Antoine Bernard a déjà raconté le premier siècle des Viateurs au Canada dans
un ouvrage en deux tomes. Léo-Paul Hébert présente ici le troisième demi-
siècle 1947-1997. Cette période couvre la Révolution tranquille, la réforme du
système scolaire du Québec, le concile Vatican II et l'aggiornamento qui
s'ensuivit. Dans les années 1961-1962, les effectifs des Viateurs du Canada
ont atteint plus de 1100 religieux. Les réalisations viatoriennes dans
l'éducation ont été considérables et significatives. À partir des années 1970,
les transformations profondes de la société québécoise ont amené les Viateurs
à s'adapter aux conditions nouvelles. La pastorale a pris en grande partie le
relais de l'éducation. En dehors du Canada, les Clercs de Saint-Viateur
avaient déjà fondé des établissements en Chine en 1931, au Japon en 1948 et à
Taïwan en 1953. Dans la suite, malgré la réduction des effectifs, ils
s'implantent au Pérou en 1959, en Haïti en 1965 et au Burkina Faso en 1999.
L'année 1997 a marqué le 150e anniversaire de la fondation canadienne. Le
Musée d'art de Joliette a présenté alors une importante exposition intitulée
La foi dans l'art, dont l'objectif était de souligner l'importance que les
Viateurs accordent à l'art, au chant et à la musique. Léo-Paul Hébert, docteur
en histoire, a été témoin de la période traitée dans le présent ouvrage
(1947-1997). En plus de son enseignement au département des sciences humaines
du Cégep de Joliette, il a publié plusieurs ouvrages, qui ont porté sur les
Clercs de Saint-Viateur, sur les finances du Séminaire de Joliette et sur le
rôle du Cégep de Joliette dans la région de Lanaudière.
invités par Barthélemy Joliette pour prendre charge du Collège Joliette.
Antoine Bernard a déjà raconté le premier siècle des Viateurs au Canada dans
un ouvrage en deux tomes. Léo-Paul Hébert présente ici le troisième demi-
siècle 1947-1997. Cette période couvre la Révolution tranquille, la réforme du
système scolaire du Québec, le concile Vatican II et l'aggiornamento qui
s'ensuivit. Dans les années 1961-1962, les effectifs des Viateurs du Canada
ont atteint plus de 1100 religieux. Les réalisations viatoriennes dans
l'éducation ont été considérables et significatives. À partir des années 1970,
les transformations profondes de la société québécoise ont amené les Viateurs
à s'adapter aux conditions nouvelles. La pastorale a pris en grande partie le
relais de l'éducation. En dehors du Canada, les Clercs de Saint-Viateur
avaient déjà fondé des établissements en Chine en 1931, au Japon en 1948 et à
Taïwan en 1953. Dans la suite, malgré la réduction des effectifs, ils
s'implantent au Pérou en 1959, en Haïti en 1965 et au Burkina Faso en 1999.
L'année 1997 a marqué le 150e anniversaire de la fondation canadienne. Le
Musée d'art de Joliette a présenté alors une importante exposition intitulée
La foi dans l'art, dont l'objectif était de souligner l'importance que les
Viateurs accordent à l'art, au chant et à la musique. Léo-Paul Hébert, docteur
en histoire, a été témoin de la période traitée dans le présent ouvrage
(1947-1997). En plus de son enseignement au département des sciences humaines
du Cégep de Joliette, il a publié plusieurs ouvrages, qui ont porté sur les
Clercs de Saint-Viateur, sur les finances du Séminaire de Joliette et sur le
rôle du Cégep de Joliette dans la région de Lanaudière.
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