- EAN13
- 9782708901162
- Éditeur
- Privat
- Date de publication
- 09/02/2012
- Collection
- Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Nos pères ennemis
Morts pour la France et l'Algérie. 1958-1959
Hélène Erlingsen-Creste, Mohamed Zerouki
Privat
Histoire
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Privat 16,50
"Nous allons parler de cette guerre, de cette ignoble guerre. D’un côté, des
soldats d’une armée régulière qui devaient remplir leur mission et, de
l’autre, des moudjahidin d’unités clandestines qui se battaient pour la
liberté de leur pays." Hélène Erlingsen-Creste et Mohamed Zerouki, dont les
pères ont été soldats et adversaires pendant cette guerre ont fait le pari
d’écrire un livre de paix, où se mêlent l’histoire de leur père et leur
parcours d’enfant en plein conflit. Clovis Creste a été tué en 1958 lors d’une
embuscade dans le djebel de Tacheta-Zougara et Ibrahim Zerouki a disparu dans
l’Ouarsenis en 1959 ; son corps n’a jamais été retrouvé. A travers ce livre,
écrit à quatre mains, nous sommes transportés dans le plus intime de cette
guerre : le courage de ces deux hommes face à leurs engagements militaires,
l’amour de leur pays mais aussi leur crainte de mourir au combat et de ne plus
revoir leur famille.
soldats d’une armée régulière qui devaient remplir leur mission et, de
l’autre, des moudjahidin d’unités clandestines qui se battaient pour la
liberté de leur pays." Hélène Erlingsen-Creste et Mohamed Zerouki, dont les
pères ont été soldats et adversaires pendant cette guerre ont fait le pari
d’écrire un livre de paix, où se mêlent l’histoire de leur père et leur
parcours d’enfant en plein conflit. Clovis Creste a été tué en 1958 lors d’une
embuscade dans le djebel de Tacheta-Zougara et Ibrahim Zerouki a disparu dans
l’Ouarsenis en 1959 ; son corps n’a jamais été retrouvé. A travers ce livre,
écrit à quatre mains, nous sommes transportés dans le plus intime de cette
guerre : le courage de ces deux hommes face à leurs engagements militaires,
l’amour de leur pays mais aussi leur crainte de mourir au combat et de ne plus
revoir leur famille.
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